Quels travaux risquent de faire augmenter votre taxe foncière ?
Certains travaux peuvent avoir un impact sur le montant de votre taxe foncière. Il faut être très vigilant avant de réaliser vos travaux. Les détails !…
Chercher un nid douillet pour soi et son animal de compagnie n’est pas toujours une mince affaire.
Comprendre les bailleurs réticents, savoir argumenter
Lorsque le plausible locataire rencontre pour la première fois le bailleur, il faut qu’il fasse preuve de franchise et parle directement de sa situation. Le futur locataire doit rassurer le bailleur en assurant comprendre qu’emménager avec son animal de compagnie n’est guère un droit, mais un privilège exigeant quelques engagements.
Être empathique avec les propriétaires réticents est également important. Le locataire doit chercher à savoir pourquoi il n’aime pas les animaux avant de le rassurer, selon les cas, que ce genre de chose ne va pas se produire avec lui.
De plus, le bailleur peut s’inquiéter sur les plausibles désagréments que l’animal pourrait causer au voisinage. Des préoccupations légitimes qui font que la balle est dans le camp du potentiel locataire pour trouver les bons arguments pour faire disparaître ses inquiétudes… Des arguments qui ne doivent pas tomber dans le mensonge bien évidemment.
Finalisation
Si le propriétaire finit par accepter, une entente de responsabilités sera réalisée. Sur celui-ci, le locataire s’engage à ce que son animal ne cause pas de désagréments au voisinage et au propriétaire. Aussi, certains bailleurs demandent un dépôt de sécurité.
Lorsque tout a été convenu, il faut s’assurer que tous ces ‘détails’ sont écrits noir sur blanc dans le bail.
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